Si l’on avait préservé ce début parfait,
on aurait pu garder de jolis souvenirs,
sans efforts, sans regrets.
Mais on a continué, on a persévéré,
après ce matin-là où ça n’a pas collé,
après cet au revoir que tu as prononcé.
On aurait dû s’en tenir à ce faux départ,
ne pas chercher à changer le cours de l’histoire qui nous a rattrapés ce matin :
4 ans, 7 mois et 19 jours plus tard.
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