Je pense à toi, tu sais.
Si je te le disais, tu ne me croirais pas, comme la dernière fois que je te l’ai avoué.
Tu es parti, je sais. Et quand tu étais là, tu n’avais pas le temps.
Tu n’as jamais été aussi absent, je sais, mais mon esprit ne peut s’empêcher de penser.
J’ai d’autres choses à faire, du travail pour les jours, les semaines à venir, j’ai de quoi m’occuper pour donner vie aux projets dont je t’ai parlé. Justement, c’est à toi et toi seul que je veux parler en ce moment.
J’ignore sous quelle forme mon esprit te perçoit, ni ce qu’il attend de toi.
Depuis que nous sommes censés être amis, je comprends que nous sommes devenus différents, que nos chemins ne peuvent plus ne faire qu’un, mais la raison s’efface au profit de l’espoir et je continue d’avoir envie de te voir.
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