Ce que je veux, c’est toi.
Je crois que j’ai gardé le meilleur pour la fin.
Comment ne pas saisir l’occasion de t’écrire, d’utiliser mes mots pour t’évoquer encore.
Je n’oublierai jamais ce jour particulier, celui qui chaque année célèbre ta naissance, que tu le veuilles ou non, celui qui me donne envie de te le souhaiter, une envie à laquelle je ne résiste pas et qui s’échoue sur la grève de ta fierté.
Cette envie me rappelle que le temps ne sera jamais de mon côté.
Je l’avais qualifié de compagnon, d’allié.
Six ans plus tard, je sais qu’il est loin d’en être un, ou qu’il n’est pas le mien.
Les pleurs que j’ai versés ce jour-là sont de l’histoire ancienne, appartiennent au passé.
Mais pas toi.
Tu resteras intact dans ma mémoire faillible, dans mes souvenirs où tu ne t’estompes pas.
Je tenterai ma chance autant qu’il le faudra. Je la provoquerai si elle ne répond pas.
Je n’attends rien de toi. J’ai besoin de laisser parler mes émotions, de célébrer ce jour, que tu le veuilles ou non.
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