Le correcteur Word te souligne en rouge. Je suppose donc qu’il ne sait pas plus que moi qui tu es. J’ai entendu ton nom à de nombreuses reprises, mais je n’ai jamais réussi à le retenir. J’ai toujours cru que tu t’appelais Gérard, qu’importe…
Je sais qu’on te déteste, et qu’on a sûrement de bonnes raisons de le faire.
Je ne m’avancerai pas à les développer, personne ne doit savoir l’ampleur de ce que j’ignore… mais d’un autre côté, est-ce un mal d’ignorer la haine que tu inspires, les foudres que tu déchaînes ?
Si j’apprenais un jour tout ce dont on t’accuse, je ne comprendrais pas comment tu peux encore exister au point de t’immiscer jusque dans ce défi.
Je ne saurai jamais comment tourne le monde. C’est mieux ainsi, je crois. Si j’étais en mesure d’entendre ces choses-là, j’aurais peur d’éveiller le volcan que je suis et de ne plus jamais réussir à l’éteindre, de ne plus réussir à contenir l’éruption, l’explosion, la fureur que déclencherait ton nom.
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