Est-ce beau d'avoir mal à ce point ?
De nous avoir créés jusqu'à souffrir d'un manque devenu réalité.
De ne pas m'être méfiée.
De ne rien avoir vu venir.
D'avoir continué malgré l'évidence, malgré l'absurdité.
Malgré tout ce qui me disait, me criait d'arrêter.
Est-ce beau d’avoir mal lorsque je pense à toi, aussi intensément que la première fois ?
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