Parfois, je me demande si l’espoir fait vivre ou si la vie permet à l’espoir d’exister.
Qui de l’un ou de l’autre était là en premier ?
Peu importe le sens de cette association, ces notions vont de pair dans notre imaginaire.
Pour ma part, je dirais que l’espoir est ancré dans mon fonctionnement. C’est l’un de mes moteurs.
En dépit des épreuves que j’ai traversées, je n’ai jamais cessé d’avoir foi en ce que je pouvais accomplir.
Chaque semaine, chaque mois, chaque nouvelle année, je crois un peu plus fort en mes capacités, y compris lorsque tout concourt à me convaincre de baisser les bras.
Si je n’y croyais pas, je ne serais plus là.
Si j’avais cédé à la voix de la tristesse, je n’aurais jamais découvert la résilience, je n’aurais jamais saisi la seconde chance que l’on m’a accordée, je n’aurais jamais eu la preuve que l’on peut se relever de tout, et que quel que soit le combat que l’on mène, les efforts que l’on investit en valent la peine.
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